supported by 8 fans who also own “Egy állomás a végtelen közepén”
Oublier le monde qui se trouve autour de vous, projeter son esprit autre part. Wolves in the Throne Room a toujours eu une façon singulière de nous faire voir les choses sous un autre angle bien plus grand.
Thrice Woven part en des temps immémoriaux dans laquelle la Nature est exaltée ("The Old Ones are With Us"), les mythes — nordiques ? — célébrés (qui d'autre que Anna von Hausswolff et sa voix magnifique pour faire ça ?) avec un black metal rapide qui s'inspire de la vague finlandaise. Jordan Vauvert
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Écouter un album de black metal dépressif est un acte volontaire qui ne relève pas du hasard : on passe un pacte avec l'artiste et on accepte même l'idée que ce soit une expérience ultime. Drawn to Descend, deuxième album de Ov Hollowness, refuse ce système d'accord : s'il porte ce nom, c'est parce qu'avec l'introduction de riffs thrash metal, des mélodies catchy et parfois du chant clair, le black metal de ce one-man band nous attrape par le col et on a même envie d'y retourner une fois fini ! Jordan Vauvert
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Winds of Sorrow est l'une des multiples facettes de l'artiste néo-zélandais Mort et aussi l'une des plus brèves puisque seul Through Twilight... naîtra sous ce patronyme. Mort part d'un bon concept, à savoir créer un doom metal/dungeon avec une emphase sur ce dernier, mais voit trop grand en visant le format de l'album alors qu'une démo était suffisante. Les atmosphères gothiques et parfois folkloriques sont envoûtantes mais couvrent trop une voix qu'on finit par oublier. Un album sympathique. Jordan Vauvert